Des expertises régionales rayonnent en France

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9 octobre 2018 Par webmestrecrbm

9 octobre 2018

La mission est organisée par Technopole maritime du Québec (TMQ) en collaboration avec l’Institut France-Québec pour la coopération scientifique en appui au secteur maritime (IFQM) et la Société de Promotion Économique de Rimouski (SOPER).

La délégation québécoise se compose de 18 participants provenant des milieux industriels, académiques et de la recherche. Plusieurs organisations québécoises y sont présentes, telles que l’Association des capitaines propriétaires de la Gaspésie, le Centre de recherche sur les biotechnologiques marines (CRBM), le Centre interdisciplinaire de développement en cartographie des océans (CIDCO), le Créneau d’excellence Ressources, sciences et technologies marines, Merinov, l’Observatoire global du Saint-Laurent, l’Université du Québec à Rimouski et l’Université du Québec à Trois-Rivières.

« L’attention est mise sur nos collaborations avec la France, des relations qui se construisent depuis plusieurs années. Nous sommes heureux de mettre en lumière le travail et les échanges France-Québec sur les thématiques liées aux secteurs maritimes et nous profiterons de cet événement pour consolider et bonifier les partenariats qui en sont nés », explique la directrice générale de TMQ, Noémie Giguère.

Les participants québécois participeront à de nombreuses conférences, activités de réseautage et rencontres d’affaires. Une activité spéciale France-Québec est d’ailleurs présentée ce 8 octobre par l’IFQM, en partenariat avec l’Université Bretagne-Loire et TMQ, afin de maximiser les échanges et de mettre en valeur le potentiel de développement économique, social et environnemental de part et d’autre de l’Atlantique.

Tous les deux ans, la Sea Tech Week rassemble un millier de participants du secteur des sciences et technologies de la mer. Cette année, le thème central de l’événement porte sur les bioressources marines, décliné sur toute sa chaine de valeur depuis la caractérisation de la ressource jusqu’au développement économique de la filière.

Source : Adeline Mantyk – Journal L’Avantage

 

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